Texte Fondateur

Nous proposons deux points de départ pour « Demain l’Afrique ».

1er que les Nations Unies votent une loi interdisant qu’il n’y ai plus un gramme de matière première qui sorte du continent Africain sans avoir bénéficié d’une valeur ajoutée, voire d’une transformation partielle ou même, pour certains, un produit fini.

Réfléchissons, si ce plan se développait, ce serait un nombre incalculable d’emplois aux normes internationales qui seraient créés, donc un enrichissement colossal de la population, et qui dit enrichissement dit client potentiel, donc calcul gagnant/gagnant, pour les Africains qui sortiraient une part importante de leur population d’une misère endémique. Ces gens deviendraient des clients potentiels des pays du nord pour des produits de haute technologie (en attendant qu’ils les produisent eux-mêmes).

2ème Il faudrait installer deux énormes usines de dessalement d’eau de mer dans le sud Sahel. Une en mer rouge, l’autre en océan Atlantique, afin d’irriguer le sud Sahara et recréer une bande verte qui permettra une agriculture adaptée au climat et suivant le désir des populations Africaines et non pas celles de puissances internationale de l’agroalimentaire.

Vous savez que le sud Sahara est baigné de lumière qui parfois est destructrice pour la végétation. Dans ce cas-ci la lumière nous fournira l’énergie pour alimenter nos usines et toutes les pompes qui relaieront cette eau bienfaitrice.

D’où l’idée d’un grand mouvement, pour sauver l’Afrique d’une exploitation sauvage et permettre aux Africains de gagner enfin leurs vies dignement, même s’ils ne deviennent pas tous riches.